Depuis que la jeunesse algérienne a forcé la démission du président Abdelaziz Bouteflika, tous les yeux sont tournés vers l’Algérie, malmenée par des années de violence. La cinéaste Nadia Zouaoui trace un portrait intimiste de son pays d’enfance et de ses déchirements.
« Invoquer la mémoire collective algérienne pour déplorer les méfaits de l’intégrisme islamisme, sans verser dans l’islamophobie, telle était la tâche de Nadia Zouaoui, qui refuse de s’allier à une quelconque idéologie. »
Calendrier de projection à la Cinémathèque québecoise
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Article de Sylvie St-Jacquespublié sur journal Le Devoir le 15 avril 2019